Cinéma
Nejib Belkhadi, Nidhal Saadi, Sawssen Maalej … Les stars à l’avant-première de « Regarde-Moi »

Les passionnés du cinema et les journalistes étaient réunies lundi après-midi, le 22 octobre 2018, au Madar Carthage pour assister à la projection en avant-première du film « Regarde-Moi » de Nejib Belkhadi (Production de PROPAGANDA PRODUCTIONS et distribution : HAKKA DISTRIBUTION).
Nidhal Saadi, Idryss Kharroubi, Sawssen Maalej, Aziz Jebali, Nejib Belkadhi, le casting était presque au grand complet. Seul Anne Paris et Mouna Noureddine manquaient à l’appel, retenu ailleurs par des obligations professionnelles. Pour cette première de «Regarde-Moi» à Carthage, l’ambiance était donc au beau-fixe, avec une équipe charmante et enjouée, venue à la rencontre des journalistes déjà bien enthousiastes. Accolades, rires et bonne humeur, les comédiens étaient déchainés devant les photographes. Une jolie bande d’amis, aussi complices à l’écran qu’à la vie.
SYNOPSIS DU FILM :
Lotfi, la quarantaine, immigré tunisien en France, mène une vie pépère à Marseille. Son quotidien est partagé entre sa boutique d’électroménager et sa copine française Sophie. Son passé le rattrape lorsque son frère l’appelle de Tunisie pour l’informer que sa femme Sarra vient d’être hospitalisée des suites d’un AVC. Lotfi se voit obligé de revenir au pays pour réclamer la garde de son fils autiste Youssef, 9 ans, à sa tante maternelle Khedija. La cohabitation avec cet enfant qu’il n’a pas vu depuis 6 ans et la découverte de ses troubles vont pousser Lotfi à renouer avec son instinct paternel et à créer un lien avec son fils. Commence alors un voyage initiatique où Lotfi sera confronté aux angoisses et aux crises de Youssef qui s’obstine à ignorer la présence d’un père qu’il n’a jamais connu, le privant même du moindre regard dans les yeux. Et c’est cette absence de regard qui sera le moteur de Lotfi dans cette quête qui va le mener à entrer en contact avec son fils et l’ouvrir au monde.
En photos, avant-première du film « Regarde-Moi » de Nejib Belkhadi au Madar Carthage